Train d'enfer pour ange rouge - Franck Thilliez
Catégorie : Thriller
Nombre de pages : 436
Date de parution : 2003
Editeur : Pocket
Nombre de pages : 436
Date de parution : 2003
Editeur : Pocket
Résumé
Un cadavre en morceaux artistiquement répartis est retrouvé aux environs de Paris. La victime a été décapitée et son corps martyrisé a fait l'objet d'une mise en scène défiant l'imagination. Le commissaire Franck Sharko est dépêché sur les lieux. Les ténèbres, il connaît : sa femme a disparu depuis six mois. Aucun signe de vie, aucune demande de rançon. Et cette nouvelle affaire, en réveillant le flic qui dormait en lui, va l'emmener au cœur de la nuit, loin, beaucoup trop loin...
Mon avis
C'est dans le cadre d'en février découvrons un auteur par Pimprenelle, que j'ai lu mon premier Thilliez. C'est un auteur qui commence à se faire de plus en plus connaître et dont je n'entends que des avis positifs. La plupart de ceux qui ont lu un de ses livres ont enchaîné avec d'autres.
Train d'enfer pour Ange Rouge, est vraiment un bon Thriller, même si j'ai moins accroché que d'autres personnes à cet ouvrage, j'ai cependant lu rapidement ce livre, et souhaitais toujours en connaître la suite, l'écriture de Thilliez rend accro. Malheureusement comme j'ai pu le constater dès le début de ma lecture, ce tome est la suite des autres aventures du comissaire Sharko. Mais il se lit tout de même, c'est juste que j'aime bien lire tout dans l'ordre, si vous voyez ce que je veux dire.
Heureusement qu'il a écrit un avant-propos afin de nous informer que : Train d'enfer pour ange rouge, a été le travail d'une année de recherche, de documentation, et d'écriture éprouvante" car sinon on aurait pu penser qu'il était adepte de la chose. En tout cas tout ce qu'il écrit a l'air véridique aussi bien les tecniques de torture que les lieux.Vraiment un bon polar, même si j'ai quand même deviné, qui était le meurtrier, dus à des indices par ci par là, les différentes scènes sont bien, très bien décrites. Je termine mon commentaire par une dernière chose : il fallait vraiment y penser !!!
