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 Les Sang bleus – Melissa de la Cruz

 Edition Albin Michel Wiz
Paru en 2009
335 Pages

Résumé

A Venise comme à New York, la fête bat son plein. Sublime et glaciale, la rivale de Theodora Van Alen, Mimi Force, prépare le grand événement chez les vampires: le bal des Quatre-Cents. Robes haute couture, hype attitude, baisers vénéneux dans les palaces, tout serait parfait si derrière les masques les vrais dangers ne guettaient pas Theodora et ses amis... 
 

Mon Avis

 J'avais appréciée le premier tome « les vampires de Manhattan », j'ai donc voulu lire la suite de le série avec « Les sang-bleus. Mais malheureusement on a du mal à s'y remettre, Ca faisait quelques temps que j'avais lu le premier tome, et je ne me souvenais peu des personnages et de ce qu'il leur était exactement arrivé. Ensuite, une fois le tome bien entamé, il ne se passe pas grand chose jusqu'au tiers du livre.
Je tiens également à donner mon avis sur la couverture : elle est vraiment kitch : j'ai vraiment l'impression que c'est un livre qui date des années 80, elle ne fait vraiment pas moderne. Heureusement pour l'auteur que nous nous arrêtons pas sur nos à priori !

Autres titres de la série

Melissa de le Cruz, Les vampires de Manhattan
Melissa de le Cruz, Les Sang-d'Argent

Biographie de la faim,  Amélie Nothomb

Edition Albin Michel
241 pages
2004

Mon avis
 

ouh là là j'ai bien cru que je n'apprécierai pas ce livre en lisant les premières pages. Mais heureusement, tout est redevenu normale, en se recadrant sur la vie d'Amélie Nothomb. Bien sûr elle se prénomme à nouveau Dieu, ce qui cette fois m'a un petit peu agacée. Dans ce livre l'auteur nous retrace sa vie, de ses 4 ans jusqu'à ses  21 ans. On apprend par là, sa soif d'apprendre ou "sa faim d'apprendre". Une fois de plus il faut prendre le mot "Faim" au sens propre comme au sens figuré. Au fur et à mesure que je lis ses livres on retrouve des petits clins d'oeil sur ses autres oeuvres, dont celle de cosmétique de l'ennemi avec le passage ou Textor Texel qui raconte à sa victime que quand il était petit il avait souhaité comme tout qu'un de ses camarades meurt et le lendemain, ce petit garçon était mort. Ensuite, la fin reprend le résumé de stupeur et tremblements (écrit avant) et de ni d'Eve ni d'Adam ( écrit plus tard). On a aussi droit à un petit résumé de ce qui se passe dans "Métaphysique des tubes" , également sorti avant ce titre. Je ne sais pas si par là, elle souhaite recadrer la situation du récit en nous rappelant ce qui s'étaient passé dans ses autres livres où elle cherche à ce qu'on lise ses autres romans.
Bon maintenant, je pense  que j'ai fait le tour de sa vie . J'espère que ses autres livres traiteront un sujet différent.

L'échappée belle, Anna Gavalda

Ce livre nous permet de nous échapper avec les différents personnages de ce livre. Une belle histoire de fraternité, d'amitié et d'amour.
C'est un livre très court que nous a écrit Anna Gavalda. C'est d'ailleurs le premier livre que je lis d'elle. Concernant le format de l'édition, j'ai bien aimé avoir un livre de ce format ( plus petit qu'un livre de poche). C'est comme si on tenait un petit carnet en main. La couverture à l'avant  est la même qu'à l'arrière et est à la fois très simple et originale. Ce livre est très court :( en plus du format) 164 pages. On entre vraiment tout de suite dans le sujet à vrai dire.  On attaque tout de suite avec les dialogues. Ce qui nous empèche de passer par des longues descriptions, où la mise en place de l'histoire se fait. Bien sûr on ne sait pas tout ce qui va nous attendre, mais on s'installe vite au milieu des personnages. C'est une histoire simple, mais tellement belle ! Elle représente vraiment la vie d'aujourd'hui et les liens fraternels que peuvent avoir ensemble des frères et soeurs. Pour ma part je me suis dit que cette histoire était belle quand Simon, Lola et Garance décident d'aller voir leur frère Vincent qui habite dans un petit village, comme moi hihihi. Et ce personnage de Nono, m'a fait également pensé à quelqu'un, qui en plus a plus ou moins le même métier ! Comme si dans tous les villages il fallait y avoir quelqu'un avec ce caractère. 
Concernant l'écriture de Anna Gavalda, j'ai souvent souri voir ri quand à l'auto dérision, sur les passages en anglais, où on voyait bien que c'était un français qui parlait. Et j'ai également appréciée l'audace de l'auteur pour le changements d'ortographe de certains mots.