Edition : Albin Michel
Nombre de pages 677
Date de parution : 2008
Résumé
Un Homme qui ment si savamment. Une femme qui croit mener la danse, mais qui passe son tour. Des adolescents plus avertis que les grands...
Un homme qui joue les revenants. Un père, là haut dans les étoiles, qui murmure à l'oreille de sa fille...
Un chien si laid qu'on s'écarte sur son passage.
Des personnages qui avancent obstinément comme des petites tortues entêtées qui apprendraient à danser lentement, lentement dans un monde trop rapide, trop violent.
Mon avis :
Dans ce roman, Joséphine, prend de l'ampleur, elle est beaucoup plus sûre d'elle. Iris, quant à elle, est Iris quoi !! elle ne pense qu'à elle, elle squatte chez sa soeur, lui fait des remarques, bref, moi je l'aurais déjà mise dehors depuis un moment. Mais la fin en ce qui la concerne est superbe ! Car disons, on ne la retrouvera pas "certainement" dans le prochain tome.
Ce qui m'a un peu déranger, c'est le fils de marcel et de Josiane, c'est une réincarnantion, un ange ??? Autant on pouvait croire que l'histoire pouvait être réelle, autant, un ange ayant eu plusieurs vie antérieur était tiré par les cheveux. J'ai pourtant bien aimé le fait que c'était un enfant précoce, qui s'intéraissait à tout, ouvert sur le monde extérieur, malgré son jeune âge.
Je reviens à Joséphine, elle reste malgré tout la joséphine qui hésite avec l'homme qu'elle aime, heureusement qu'il y a sa fille, quoique les passage d'elle en angleterre ne pas plu plus que ça ! mais j'ai quand même envie de savoir s'ils termineront ensemble, elle et Gary ?
Pendant ma lecture, je me suis posé la question, mais pourquoi il y a une enquête policière, dans ce livre ? puis j'en ai vu l'utilité plus tard ! Deux petits histoires m'ont touchés : c'est que j'adore les animaux ! c'est l'histoire avec le corbeau au bec jaune du copain à Marcel et l'histoire de la petite tortue Sophie et sa fin tragique ! ok c'est juste un roman, mais faire du mal à des animaux me mets le haut le coeur.
Voilà après tout, ce livre est sympathique, la fin rattrape le tout. Je pense que je lirais certainement les écureuils de Central Park sont tristes le lundi