Edition : Albin Michel
Nombre de page : 101
Catégorie : Littérature générale
Sa rencontre avec un maître du sumo, qui décèle un " gros " en lui malgré son physique efflanqué, l'entraîne dans la pratique du plus mystérieux des arts martiaux. Avec lui, Jun découvre le monde insoupçonné de la force, de l'intelligence et de l'acceptation de soi.
Mais comment atteindre le zen lorsque l'on n'est que douleur et violence ? Comment devenir sumo quand on ne peut pas grossir ?
Ce livre a été lu dans le cadre du challenge mensuel de Pimprenelle : En juillet découvrons Eric-Emmanuel Schmitt. J’avais déjà lu dans ce cadreConcerto à la mémoire d’un ange, que j’avais bien apprécié. Le sumo qui ne pouvait pas grossir, est un petit livre qui se lit vite de 101 pages. C’est pourquoi j’ai décidé d’en lire un deuxième de cet auteur.
Cette fois-ci, c’est bien d’un roman qu’il s’agit (Concerto à la mémoire d’un ange, est une série de nouvelles). Jun est un jeune homme qui vit dans la pauvreté, et vend de petits gadget dans la rue pour survivre. Chaque jour il rencontre Shomintsu qui lui répète : je vois un sumo en toi.Jun est agacé par cet homme qui le harcèle et qui voit un sumo en lui alors qu’il est maigre comme un clou et n’arrive pas à grossir.
Finalement, il accepte de venir voir l’école du grand maître Shomintsu, il s’y intègre, et prend comme grand modèle Ashoryu, un sumo star. Il tombre également amoureux de Reiko, la sœur de Ashoryu.
Un livre que j’ai lu déjà il y a quelques temps, mais dont je garde un bon souvenir.